Pendant le carême, dans ma prière, je me représente les visages de ceux qui, dans mes différents cercles de relation sont les plus durement frappés par la crise sanitaire et je prie pour eux. Et puis, j’essaie de leur communiquer la paix et la joie qui m’habite en leur téléphonant, en leur écrivant ou en leur rendant visite. Et je dois dire que la réponse qu’ils me donnent me remplit de joie à mon tour.
Jean-Laurent Valois, dominicain de Lille